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TERRA I 0 – Microwave International New Media Arts Festival 2013
Mon premier article traduit en chinois !
Cette année le festival Microwave de Hong Kong qui s’est tenu en novembre avait pour thème l’Espace.
Le catalogue inclut des essais de Rob La Frenais, Sarah Jane Pell et reprend mon article « A New Territory of (In)Human Proportions« . C’est la première fois qu’un de mes textes est traduit en chinois !
Parmi les œuvres exposées : Coallision (2013) de Reni & Jogi Hofmüller, The Martian Rose (2007/9) d’Howard Boland et Laura Cinti que j’avais présentée dans l’exposition « (In)Habitable ? L’art des environnements extrêmes » en 2009, Moon Goose Analogue: Lunar Migration Bird Facility (depuis 2011) d’Agnès Meyer-Brandis, Space Maintenance / Lost in Space (2009-2013) de duo We Colonised The Moon (Sue Corke & Hagen Betzwieser), Virtual Synchronicity (2012) de Tobias Klein. Le festival présentait également des programmes vidéos ainsi qu’un colloque.
Publié dans Annick's News, Articles, Publications, Space Art, Space Art
Marqué avec Agnès Meyer-Brandis, Annick Bureaud, Howard Boland, Laura Cinti, Rob La Frenais, Sarah Jane Pell, Space art, We Colonised The Moon
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Rencontre BioArt – Festival Accès(s) – Pau
Le Festival Accès(s) de Pau accueillait cette année le projet Humalga de Špela Petrič et Robertina Šebjanič et organisait dans ce cadre une rencontre autour du bioart à laquelle je participais.
Publié dans Annick's News, BioArt, Conf-participation, Conference, Thèmes-Topics
Marqué avec Annick Bureaud, BioArt, Festival Accès-s, Humalga, Robertina Sebjanic, Spela Petric
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Art et Minitel en France à la fin des années 80.
J’ai fait une présentation sur « Art and Minitel in France in the 80’s. A Fragmented History » dans le cadre de Renew, 5th International Conference on the Histories of Media Art, Science and Technology, organisée par le RIXC à Riga du 8 au 11 octobre 2013.
Publié dans Annick's News, Conf-participation, Conference
Marqué avec histoire, History, Minitel Art
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« En vie / Alive » dans MCD
Mon article sur l’exposition « En vie / Alive. Aux frontières du design est paru dans le numéro hors-série numéro 8 d’octobre 2013 de MCD Magazine des cultures digitales consacré aux « Cultures Numériques Live ». On peut télécharger gratuitement MCD au format Pdf ici ou l’article sans les images ici.
Les Basiques : Le Design d’interaction par Emanuele Quinz & Luca Marchetti
Parution d’un deuxième titre cette année dans la collection Les Basiques que je dirige pour Leonardo/Olats
Les Basiques : Le Design d’interaction par Emanuele Quinz et Luca Marchetti.
Présentation
« Comme les designers industriels ont donné forme à notre quotidien, dans nos bureaux et nos habitations, aujourd’hui le Design d’Interaction donne forme à notre vie grâce aux technologies interactives – ordinateurs, télécommunications, téléphones mobiles etc. » Gillian Crampton-Smith (in Bill Moggridge, Designing interactions, Cambridge, Massachussets, MIT Press, 2007 p XI).
Dans les années 1980, Bill Moggridge a introduit la notion de Design d’Interaction, en la définissant comme la conception des interfaces qui facilitent l’interaction entre les humains et les machines (notamment informatiques). Depuis, les définitions et les pratiques se sont transformées. Aujourd’hui, le design d’interaction est une facette d’un panorama disciplinaire de plus en plus vaste et complexe, et se positionne au croisement entre l’art, les technologies et les sciences (de l’ingénieur mais aussi humaines, comme la psychologie ou l’anthropologie). Ses préoccupations s’étendent de la conception des objets techniques à toutes les implications du monde numérique au sens le plus large, des télécommunications aux loisirs, aux services.
En participant d’un mouvement généralisé dans le design, qui l’émancipe non seulement du rapport traditionnel entre forme et fonction, mais aussi des limites de la production industrielle, le design d’interaction devient de plus en plus un champ d’intervention total, qui s’étend de la gestion des environnements à la scénarisation des relations: de l’objet à l’expérience.
L’objectif du Basiques : Le Design d’interaction est de proposer une série de définitions qui permettent de saisir ce domaine complexe et en plein essor et d’en positionner les protagonistes dans l’histoire.
Sommaire
– Qu’est-ce que le design d’interaction ?
– D’où vient le design d’interaction ?
– Qu’est-ce que l’interaction dans le design ?
– Quelles sont les différentes approches du design d’interaction ?
– Quelles sont les principales théories ?
– Quels sont les lieux de formation au design d’interaction ?
– Quelques exemples d’application du design d’interaction
– Conclusion : quelle évolution pour le design d’interaction ?
Cet ouvrage a reçu le soutien du Ministère de la culture et de la communication (Secrétariat général / Service de la coordination des politiques culturelles et de l’innovation)
Luca Marchetti
Sémioticien de formation, il est chercheur à l’Institut de Recherche en Art et Design de la HEAD de Genève (CH), professeur de Sémiotique du Design et de la Mode à l’École Nationale Supérieure des Beaux Arts de Lyon (ENSBA) et enseigne la Sémiotique Appliquée au CELSA (Paris IV, La Sorbonne) et à l’Institut Français de la Mode (IFM, Paris). Parallèlement il mène une activité de consultant auprès de marques et instituts d’études. Collaborateur de magazines tels que Vogue Italia, Casa Vogue, Lotus International, Form et Domus, il contribue régulièrement à des publications sur la mode, le design et l’art contemporain.
Emanuele Quinz
Historien de l’art, il est Maître de Conférences à l’Université Paris 8 et enseignant-chercheur auprès de l’ENSAD-Lab (Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs). Titulaire d’un doctorat en Esthétique, ses recherches explorent les convergences entre les disciplines dans les pratiques artistiques contemporaines : des arts plastiques au design et à la mode, de la musique à la danse. Il a dirigé plusieurs ouvrages dont Du corps à l’avatar (anomos, 2000), La scena digitale (avec A. Menicacci, Marsilio, 2001), Digital Performance (anomos, 2002), Interfaces (anomos, 2003) et MilleSuoni, Deleuze, Guattari e la musica elettronica (Cronopio 2006), Un certain degré d’étrangeté. Pour un design des comportements (avec J. Dautrey, Editions It, 2013). A la recherche et à l’enseignement, il associe une pratique de commissariat d’exposition.
Luca Marchetti et Emanuele Quinz ont fondé en 2007 mosign, un studio de conseil dédié à la gestion globale de l’identité de marque, à la direction artistique d’événements et au commissariat d’exposition entre art, mode et design. Ensemble ils ont dirigé des projets d’expositions et de recherche parmi lesquels Dutch Paradox (Paris 2012), Basic Instincts (Berlin, 2011; Arnhem, Shenzhen, 2012), Dysfashional (Luxembourg 2007 ; Lausanne, 2008 ; Berlin, 2009 ; Paris et Moscou 2010 ; Jakarta, 2011), Experience Design (Bolzano, 2005), FIRs : Fashion Italian Roots (Bruxelles 2004), en:trance (Bolzano 2004, Paris 2006-2007).
La collection Les Basiques
Le projet Les Basiques de Leonardo/Olats est une collection d’ouvrages hypermédia accessible gratuitement en ligne qui, comme son nom l’indique, propose des connaissances et des informations de base, les principaux questionnements, et un ensemble de références permettant un approfondissement, sur une thématique ou une question particulière au sein du champ de l’art et des technosciences.
Chaque « volume » est structuré autour d’une dizaine de questions qui font chacune l’objet d’un « chapitre ». Elles sont liées entre elles autour des notions clés.
Collection dirigée par Annick Bureaud
Branche française de Leonardo/Isast (www.leonardo.info), Leonardo/Olats (l’Observatoire Leonardo pour les Arts et les Techno-Sciences) est une association culturelle de recherche et de publications en ligne dans le domaine des arts et des technosciences. Leonardo/Olats s’intéresse non seulement aux productions de l’art technologique mais aussi aux rencontres entre scientifiques, ingénieurs, artistes et acteurs culturels par le biais de l’organisation de colloques, séminaires ou de soutien à des projets d’artistes en résidence.
Publié dans Anouncement, Blog
Marqué avec Design d'interaction, Emanuele Quinz, Leonardo/Olats, Les Basiques, Luca Marchetti
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Art, technologies médicales, droit et éthique
L’Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) vient de faire un rappel à la loi à propos du projet Jeux de mains de Marc Ferrante que j’ai chroniqué dans ce blog. Voir plus bas le courrier électronique que j’ai reçu de l’artiste.
Ce « rappel à la loi » soulève des questions fondamentales quant à la création et la recherche artistiques utilisant des techniques d’imagerie médicale (largement nucléaires) alors même que c’est reconnu « sans danger ». L’ASN rappelle que le Code de la santé publique interdit l’utilisation des rayonnements ionisants « à des fins autres que le diagnostic, le traitement ou la recherche ». Il n’est donc pas imaginé que la recherche puisse être artistique ou même en sciences humaines …
Et, quid si on utilise « à des fins artistiques » des images réalisées lors de diagnostics ou de traitements ou … de recherches médicales et scientifiques … Voilà donc du grain à moudre pour les juristes et les spécialistes de l’éthique. Ce qui m’évoque, évidemment, le projet Trust me, I’m an Artist, d’Anna Dumitriu.
******
email de Marc Ferrante reçu le 27 mai 2013
Le jeudi 23 mai 2013 l’AFP a publié la dépêche qui suit :
L’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a rappelé jeudi que la loi interdit toute utilisation de rayons X ou d’autres formes de radioactivité sur le corps humain à des fins artistiques, ces rayonnements devant être réservés à des diagnostics ou traitements médicaux.
Ce surprenant rappel à la loi fait suite à une exposition intitulée « Jeux de mains… », de l’artiste plasticien strasbourgeois Marc Ferrante, qui a rassemblé une centaine de clichés radiographiques de mains humaines dans des lieux d’exposition situés à Strasbourg (…)
« Bien que les doses reçues par les volontaires ne soient pas de nature à avoir un impact sanitaire significatif, elles ne doivent en aucun cas être administrées sans justification médicale », souligne l’ASN, qui rappelle que le Code de la santé publique interdit l’utilisation des rayonnements ionisants « à des fins autres que le diagnostic, le traitement ou la recherche ».
L’artiste, Marc Ferrante, a confié à l’AFP « comprendre » la démarche de l’ASN (…). “Ce travail avait pour but d’explorer les liens – très anciens – entre la photographie et les radiographies. Le physicien allemand Wilhelm Röntgen, père des rayons X, « n’aurait jamais inventé la radiographie s’il n’avait pas été photographe », souligne Marc Ferrante.
AFP (Dépêche complète sur le site de La Croix, du Parisien)
Ces radiographies sont actuellement exposées au Muséum-Aquarium de Nancy au RDC (exposition individuelle jusqu’au 2 juin) et au 1er étage dans le cadre de l’exposition collective sur l’imagerie scientifique « corps en images » (jusqu’au 05 janvier 2014).
Communiqué de presse de jeux de mains
L’imagerie médicale véhicule les espoirs et les fantasmes de notre société parce qu’elle reflète les dernières innovations scientifiques et technologiques tout en nous renvoyant à notre condition et à notre fragilité. Ainsi la radiographie reste le théâtre des pathologies, des symptômes et des croyances de notre époque car elle est non seulement une découverte scientifique, mais aussi une invention culturelle.
Aussi, afin de porter une regard différent sur ce medium, j’ai confronté la radiographie à son histoire et à celle des autres arts contemporains de son invention (photo, cinéma, arts de la scène…) en mélangeant technologies récentes et vieux tours de passe-passe. Chacune de ces radiographies m’a ainsi permis d’investir ce medium de préoccupations sculpturales, poétiques ou historiques et de réfléchir sur les statuts de différents types de représentation et de leurs rapports au réel… M. Ferrante
Publié dans Art-Science, Blog
Marqué avec droit, éthique, Mar Ferrante, technologies médicales
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« Weatherproof », Antony Lyons
I received today a book by and about Antony Lyons that is hard to describe as it is 2 books in one, one per artwork that is documented, in a beautiful design that can be considered an artwork in itself.
One project, under the cover SLOW, recalls his work-residency Weatherproof as part of the Lovely Project in County Donegal in Ireland, and for which I wrote the introductory essay A Turf-stack in a Gallery.
The second project, under the cover Dead Womans Ditch Quantock Hills, refers to another residency-work Quantock Dreaming. Secret Mappings and Mapping Secrets in the Quantock Hills, Somerset, England.
Lyons’s work deals with art and science but also with craftmanship, landscape and climate change, deep mapping and field recordings, poetry and environmental and land art, slowness and time, and much more.
I am proud to have my name in this book.
Quantock Hills – Weatherproof, published by Wild Conversations Press, 2012, supported by PLaCE Research Centre, UWE, Bristol
Publié dans Annick's News, Articles, Publications
Marqué avec Annick Bureaud, Antony Lyons, art and climate change, Leonardo/Olats, Lovely Weather, Weatherproof
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