Quelques informations-réflexions, en vrac, sur les drones, qui (si tout va bien) se poursuivront au fil de mes lectures, recherches et rencontres.
Teresa Castro est la blogueuse invitée du Magazine du Jeu de Paume en cet été 2015. Son blog s’intitule « Drones d’idées ». Elle y indique qu’il ne portera pas spécifiquement sur les drones mais sur « l’animisme des images et de quelques autres êtres techniques ».
Elle y chronique notamment l’exposition « Le Paradis et l’Enfer. Des tapis volants aux drones » qui se tient jusqu’au 6 septembre 2015 à Bruxelles.
J’avoue que le rapprochement tapis volants – drones m’intrigue. J’associais les premiers plus au rêve de vol et les seconds à la possibilité de l’ubiquité, d’une présence et d’une action à distance (téléprésence) dans ce corps de substitution qu’est la machine.
Le site web de l’exposition indique « Des physiciens se seraient même lancés dans des recherches pour faire voler un tapis !… »
Ce qui fut réalisé par … des artistes.
En 2001, Jem Finer et Ansuman Biswas firent voler un tapis en apesanteur, lors d’un vol parabolique organisé par Arts Catalyst dans l’Ilyushin-76 MDK, l’avion d’entraînement à la micro-gravité de la Cité des Etoiles en Russie.