annick bureaud

« Space Shelter Earth », Romanian Research Trip, Autumn 2024

Publié le 6 novembre 2024 par ab

Space Shelter Earth – Mud Volcano Research Trip with Marcus Neustetter, Andrei Tudose, Sabina Suru and Annick Bureaud

Incredibly rich, exciting, nurturing and rewarding research trip to Romania with @Marcus Neustetter for our project « Space Shelter Earth« . Thank you @Andrei Tudose, @Sabina Suru from @Marginal for having organised all this and having « explored the sheltering » with us!

We met great people, artists and scientists, thank you for having shared your time and knowledge with us @Alexandra Sofonea, @Gabriela Mateescu, @Ciprian Ciuclea, @Sorin Badea, Cosmin Ciobanu, @Ada Anghel, @Laura Albani, @Alexandra Costea, @Roxana Nicoara, @Andrei Raicu.

Needless to say that we took loads of images, a few hints of what happened through a radical selection.

Space Shelter Earth – Marcus Neustetter, Annick Bureaud, Andrei Tudose, Sabina Suru at Mud Volcano, oct 2024

The trip to the Mud Volcano as a potential field trip in our project has been extremely inspirational for the four of us, raising questions around our notions and understandings of “shelter”, Earth, “living geology”, planetary bodies, and more.

Space Shelter Earth – In situ pop up exhibition at Mud Volcano – Oct 2024

Marcus Neustetter created many drawings and in situ performances. The four of us (Annick Bureaud, Marcus Neustetter, Sabina Suru and Andrei Tudose) created those « inprints » of the environnement on perspex as a collective gesture and displayed them as an in situ pop up exhibition.

Space Shelter Earth, building a shelter for a plant in Sabina Suru’s studio in Bucharest, oct 2024

Back from the Mud Volcano, we discussed our notions of shelter, shared knowledge, learned about Romanian culture and history, while trying sheltering a plant for some space travel.

Space Shelter Earth, Annick Bureaud and Marcus Neustetter at Radio Guerilla for an interview with Sorin Badea, oct 2024

Space Shelter Earth, visiting the Technical Museum with its director Laura Albani, Sabina Suru and Andrei Tudose, oct 2024

We visited the Technical Museum in Bucharest with its director Laura Albani. Located in a beautiful park, the museum has a large gallery where Space Shelter Earth will land in 2025.

Space Shelter Earth, space artefact at the Technical Museum, oct 2024

The Technical Museum owns quite interesting artefacts such as this « jet backpack ».

Space Shelter Earth, with Roxana Nicoara at the Biology Institute- oct 24

Meeting with Roxana Nicoara at the Biology Institute. She gave us a tour of the Institute Herbarium and, based on a selection of the plants archived in the Herbarium, a lecture about the Romanian endemic plants and poisonous or toxic plants (alluding to the fact that it was the Halloween week end).

Space Shelter Earth, with Roxana Nicoara from the Biology Institute at Vacaresti Oct 24

With its incredible history, Delta Vacaresti is another potential location for our field trip in the project. Roxana Nicoara came with us to show us the place, providing information about its history, pointing out some specific plants, particularly edible ones.

Space Shelter Earth – Neustetter in situ micro performance & installation Vacaresti oct 2024

Space Shelter Earth, Last cake before leaving nov 2024

We ended up our research trip by sharing a last creamy cake.

Now let’s plot for the shelter to be implemented at the @Technical Museum in Bucharest in 2025 together with Marginal!

——

This research trip for « Space Shelter Earth » in Romania has been supported by Culture Moves Europe, a project funded by the European Union.

The views expressed herein can in no way be taken to reflect the official opinion of the European Union.

#CultureMovesEurope; #PushBoundaries #CreativeEurope

Publié dans Art-Science, Art-Science, Exposition/Curation, Space Art | Marqué avec Ada Anghel, Alexandra Costea, Alexandra Sofonea, Andrei Tudose, Annick Bureaud, Ciprian Ciuclea, Cosmin Ciobanu, Marcus Neustetter, Marginal, Radio Guerilla, Roxana Nicoara, Sabina Suru, Sorin Badea, Space Shelter Earth | Laisser un commentaire

Impressions Ars Electronica 2024 (HOPE)

Publié le 11 septembre 2024 par ab

Dans l’océan d’écrans qui a déferlé sur Ars Electronica cette année, tous de format appréciable et tous identiques quels que soient les projets, quelques œuvres émergeaient qui osaient d’autres avenues plastiques.

« Flock Of », Bit.studio

Celle qui a recueillie le plus d’attention et d’enthousiasme est Fock Of de bit.studio. Installés dans le bunker de Post City, on apercevait de loin ces ballons en forme de poisson, gonflés à l’helium avec leur « peau » argentée et brillante. Beaucoup, y inclus moi, pensèrent à une revisitation, ou tout le moins à une référence, aux coussins de Wharhol pour la chorégraphie Rainforest de Cunningham. Une fois dans la salle on comprenait que ces poissons là avaient un autre propos. Munis de capteurs, chacun recevait des instructions coordonnant leurs mouvements individuels et collectifs. Légers, ils dérivaient également au gré des courants d’air créés par le déplacement du public et aux gestes faits pour les écarter quand ils s’approchaient trop près de nous. Entre le maquereau pour la brillance et le requin pour la forme, ils créaient un banc joyeux et ludique dans lequel on s’immergeait progressivement au point de se sentir réellement comme en plongée sous marine. Surgissait alors une douce mélancolie : ces poissons robotiques étaient-ils tout ce qui nous resterait pour avoir une expérience de la mer et de l’océan une fois que nous aurions détruit le milieu marin ?

La vidéo de Bit.Studio sur You Tube (à regarder sans le son !)

Je me souviens de ce jour où j’ai vu les flammes sur Notre Dame. Je me souviens aussi du jour où je fus enveloppée comme dans un cocon protecteur et réparateur dans l’installation sonore de Bill Fontana sur la terrasse du Centre Pompidou. Les cloches frémissaient sous les capteurs et micro contacts de l’artiste lesquels transmettaient également les rumeurs de la ville et du chantier. J’apercevais les tours de la cathédrale, la-bas, sur son île.

« Silent Echoes Dachstein », Bill Fontana

C’est une autre cathédrale qui a accueillie Silent Echoes: Dachstein, œuvre sonore magistrale de Bill Fontana. Les vibrations sonores de Notre Dame transmises dans les grottes de glace des montagnes de Dachstein y furent associées à la captation des sons de l’eau s’écoulant de la fonte du glacier. Ce dialogue sonore entre l’objet de culture construit par des hommes mais qui failli disparaître et l’objet de nature qui s’efface sous l’action des humains s’élevait sous les voûtes de la Mariendom de Linz, s’enroulait autour des piliers, se répandait dans les chapelles et nous emportait avec lui dans une puissance et une beauté tragiques.

Ces deux œuvres sont, au passage, la preuve que l’on peut faire de l’immersif (tellement à la mode en ce moment) sans une multitude d’écrans, de vidéo projecteurs ou de casques de réalité virtuelle, même si la pièce sonore de Fontana était accompagnée d’une vidéo totalement inutile et de piètre qualité (mais on pouvait regarder ailleurs ou fermer les yeux).

« We Were Walking on the Beach », Dahye Seo

Quelques belles surprises sont venues du côté de l’exposition Campus qui présente des travaux d’étudiants. J’y ai noté We Were Walking on the Beach de la coréenne Dahye Seo qui utilise la forme d’un rituel funéraire : chaque jour pendant 49 jours elle fit brûler un bâton d’encens puis réalisa une broderie selon la forme unique que prirent les cendres chaque fois. La mort, la disparition, la fragilité de la vie humaine et du monde qui l’entoure sous-tendait aussi Fragancy. Forged Memoryscapes des roumaines Simona-Diana Chiru et Caty Alexandra Samara. L’œuvre s’inscrit dans le cadre d’une recherche spéculative sur la santé mentale et le soin : des languettes de papier imprégnées de différentes odeurs servent de déclencheur à de très brèves vidéos filmées à Timisoara. C’était une jolie version de la madeleine de Proust.

« Fragancy. Forged Memoryscapes », Simona-Diana Chiru et Caty Alexandra Samara

Enfin, dans les nombreuses œuvres qui aujourd’hui confrontent les enjeux écologiques et économiques The Solar Share du collectif Disnovation.org incarnait ces questions de belle manière. Dans la section des projets S+T+ARTS, l’installation était composée d’un fin bio réacteur d’un mètre carré dans lequel poussait des micro algues comestibles, d’un charriot sur lequel était déposée la récolte quotidienne, d’une série d’assiettes à l’aspect ancien sur lesquelles étaient gravés des motifs liés au concept et de divers éléments explicatifs et didactiques. Le projet explore la métabolisations de l’énergie solaire comme moyen d’appréhender la notion de durabilité et comme moyen de mesure de ce que « rapporte » le soleil. Dans sa simplicité plastique épurée , carré vert enchâssé dans une structure métallique et la dimension scientifique presque clinique qu’apportent les charriots auxquels s’opposent, en contrepoint, les assiettes qui semblent tout droit sorties d’un musée du 19e siècle The Solar Share se singularise et attire par son esthétique pour mieux délivrer son propos.

« The Solar Share », disnovation.org

Le titre d’Ars Electronica cette année était « Hope. Who will turn the tide ». Peut être quelques êtres humains …

N.B. Silent Echoes: Dachstein et The Solar Share ont fait l’objet d’un soutien du projet Creative Europe « More-than-Planet, néanmoins, ce n’est pas la raison qui m’a fait les inclure dans mon compte-rendu d’Ars Electronica mais bien leurs qualités.

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« Space Feminisms » à la Gaîté Lyrique, mardi 26 mars, 19h00

Publié le 19 mars 2024 par ab

https://www.gaite-lyrique.net/en/event/space-feminisms

Free event

Gaîté Lyrique, 3 bis rue Papin, 75003

Join us —Annick Bureaud, Nahum, Nelly Ben Hayoun-Stepanian— at the Gaîté Lyrique, Paris, on the occasion of the release of the book « Space Feminisms – People, Planets, Power » for an evening of challenging traditional space narratives to reimagine our journey through the cosmos from feminist perspectives and to discuss space stories revisited through the prism of art and culture.

In this event, we shall present the new book, Space Feminisms (People, Planets, Power) co-edited by Marie-Pier Boucher, Claire Webb, Annick Bureaud, and Nahum, and published by Bloomsbury Publishing.

We shall explore it through manifestos, historical archives, videos, and a conversation with two of the co-editors and one author. Through the prism of art and culture, our event aims to illuminate the stories and current status of the space sector.

Full Press Release

The book Space Feminisms (People, Planets, Power) is out: Employing a global approach to feminist theory, this book examines how scientific, popular, scholarly, and artistic imaginations of space have, since the 1950s, reflected and embedded Earthly hopes, anxieties, and futures.

February 22, 2024: The first book reflecting on the intersection of feminisms and space has finally been released by Bloomsbury Publishing. This groundbreaking anthology, edited by Marie-Pier Boucher, Claire Webb, Annick Bureaud, and Nahum, sets out to explore the intersections of gender, race, class, and ableism in our understanding and imagination of space.

Space Feminisms offers a comprehensive examination of how conceptions of space have evolved since the 1950s, reflecting and shaping Earthly hopes, anxieties, and futures. Rather than viewing space as a mere canvas for futuristic projections, the anthology presents space as a tangible reality, one that mirrors and influences human perceptions of themselves and their planet.

With contributions ranging from essayistic reflections to artworks and interviews with space scientists, engineers, and astronauts, Space Feminisms examines the transformation of terrestrial social constructs as they extend into the extraterrestrial realm. By bridging feminist thought with explorations of extraterrestrial power structures, the anthology prompts readers to reconsider conventional understandings of power and agency both on Earth and beyond.

« This anthology represents a radical inquiry into the expansion of earthly power structures into the skies above, » said the editors. « It provides a collaborative platform for scholars, artists, and designers to envision alternative futures, disrupting traditional narratives and fostering innovative approaches to space activities. »

Published under the Biotechne: Interthinking Art, Science and Design series by Bloomsbury Publishing, Space Feminisms promises to spark dialogue and inspire new perspectives across scientific, cultural, social, and artistic domains. With its interdisciplinary approach and emphasis on inclusivity, the anthology invites readers to contemplate the various ways in which space shapes and is shaped by human society.

For more information about Space Feminisms visit Bloomsbury’s website: www.bloomsbury.com/9781350346321

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Rencontre LASER Paris : « Une autre planète » – 14 mars 2024

Publié le 14 février 2024 par ab

C’est bientôt le printemps, la Rencontre LASER Paris repointe le bout de son nez pour évoquer « Une autre planète ». Elle se tient dans un nouveau lieu, avec un nouveau partenaire, Matrice. C’est toujours gratuit, il faut toujours s’inscrire.

Rencontre LASER Paris : « Une autre planète »

Jeudi 14 mars 2024

Matrice

146 bd de Charonne

75020 Paris

19h00 – 21h30

Entrée libre sur inscription

Terraformation, astrobotanique, systèmes de support de vie, exploitation minière et environnements extrêmes, traversant ces thématiques « Une autre planète » porte un double regard croisé sur les relations entre un « ailleurs » et un « ici » planétaires.

avec Luis Campos, Chloé Audas, Michèle Boulogne, Antti Tenetz

Les Rencontres commencent à l’heure.

Les présentations de Luis Campos et Antti Tenetz ainsi que les discussions se tiendront en anglais.

Programme

> Luis Campos, historien des sciences, Université Rice (Houston, Texas, Etats-Unis) // Ascensions and Astrobotany: Islands in the Sky

Avant même que d’imaginer terraformer une autre planète par des procédés plus ou moins aventureux, nous avons modifié la notre de planète mais aussi étudié comment des plantes vivant dans des zones difficiles pourraient devenir des candidates au voyage dans l’espace.

Perdue au milieu de l’Atlantique, l’île d’Ascension devint une base de la NASA pour le suivi des missions Apollo. Auparavant, au 19ème siècle, alors qu’elle était aride, sans arbre et sans eau douce, elle fut l’objet d’expériences pour la rendre plus accueillante par l’introduction d’arbres et de végétation.

L’histoire de l’habitabilité, de la vie sur terre vers celle dans l’espace, est une logique de vie échappant au contrôle et au design pour des environnements clos. C’est l’histoire d’Ascension, de cette biosphère autonome, et d’autres ascensions ultérieures dans l’espace : dans la pensée de la vie qui pourrait exister ailleurs, soit dans des biosphères artificielles (l’une des premières choses que la NASA a faite sur Ascension a été de créer une ferme aquaponique), ou dans des mondes fortuits d’abondance biologique qui pourraient émerger sur des ailleurs extraterrestres – une possibilité envisagée pour la première fois par l’observation de terrain de l’astrobotanique soviétique. Les interrelations entre les îles océaniques perdues et les nouvelles îles de vie dans le ciel sont inextricables alors que nous voyageons de l’Ascension à l’astrobotanique.

> Chloé Audas, cheffe du projet MELiSSA (ESA/ESTEC, Noordwijk, Pays-Bas) // Projet MELiSSA : le spatial au service de la durabilité

Va t-on manger des salades dans l’espace ? Ou des algues ? A quoi servent ils d’ailleurs ces organismes —plantes, algues, bactéries et micro-organismes— dans cet ailleurs extra-terrestre ? Aussi à prendre soin de la Terre ?

MELiSSA (Micro-Ecological Life Support System Alternative) est le projet européen des systèmes de support de vie circulaires. Inspiré d’un écosystème terrestre, le projet a été créé pour acquérir des connaissances sur les systèmes régénératifs, visant le plus haut degré d’autonomie dans l’espace. MELiSSA vise ainsi la production de nourriture, d’eau et d’oxygène à partir des déchets produits lors d’une mission spatiale. Dirigé par l’Agence Spatiale Européenne et basé sur un large consortium industriel et universitaire européen, le projet MELiSSA a contribué de manière significative à notre compréhension des procédés de transformation et de la façon dont ils peuvent être intégrés dans des systèmes circulaires. MELiSSA est l’exemple ultime d’économie circulaire, mais une meilleure gestion des ressources dans l’espace ouvre également la voie à de nombreuse solutions circulaires pour notre vie sur Terre.

> Michèle Boulogne, artiste et designer (Rotterdam, Pays-Bas et Martinique, France) // Mining the Sky, poursuite de la finitude

« Tu creuses, tu creuses, c’est tout ce que tu sais faire » dirait sans doute aujourd’hui la Zazie de Raymond Queneau.

‘Mining the sky, poursuite de la finitude’ porte sur les enjeux de l’exportation du modèle de l’exploitation minière terrestre aux milieux extraterrestres et plus particulièrement aux astéroïdes.

L’artiste élabore une cartographie des liens et points de rupture entre ces deux modèles miniers, le tellurique et le spatial, et leurs conséquences historiques et potentielles, développant l’exemple de son impact sur la membrane atmosphérique ainsi que sur les fluctuations de marché du travail et de la valeur.

Par le biais d’un récit visuel retraçant la connaissance de ces minerais venus du ciel, Michèle Boulogne questionne où commence et se termine l’espace terrestre ? Comment se traduit la notion de rareté dans l’espace astronomique ? Quel serait l’avenir de la poursuite de l’industrie de la finitude ?

> Antti Tenetz, artiste, chercheur et curator, chef du projet « More-than-Planet » pour le Northern Photographic Centre (Oulu, Finlande) // Into the Void – Art in extreme environments? Space, mine, research station in sub-arctic wilderness, analog astronaut missions.

L’avenir de l’espace est-il au fond d’une mine ? Non pas sur la Lune ou Mars mais bien sur Terre, au centre-nord de la Finlande. Pyhäjärvi, plus profonde mine d’Europe, fermée à l’exploitation, devient une zone de recherches en tout genre : laboratoires de physiques, laboratoires pour la culture de plantes et de fungi, l’expérimentation de production d’insectes et de poissons, ou environnement analogue pour programmes spatiaux.

Quel rôle peuvent jouer les artistes dans ces environnements extrêmes : mines ultra profondes, station de recherches dans l’espace sub-arctique, dans des missions spatiales analogues, ou l’utilisation d’observations terrestres à la frontière de la biosphère ?

Comment explorer de manière critique depuis ces lieux extrêmes les technologies qui redéfinissent le monde et mettre au jour des signaux, événements, entités, hyperobjets comme le réchauffement climatique, ou des changements environnementaux de dimensions telles qu’ils dépassent notre compréhension ?

> Modération : Annick Bureaud

> A la pause : Annonces & Brèves du public

> Echanges autour d’un verre à l’issue des présentations

> Exposition PopUp de Michèle Boulogne, extrait de Mining the Sky (sous réserve)

Programme créé par Leonardo/ISAST (www.leonardo.info), LASER (Leonardo Art Science Evening Rendez-vous) (www.leonardo.info/laser) est un partage d’expériences autour de projets art-science dans des rencontres semi-formelles, hors du cadre institutionnel.

La Rencontre LASER Paris du 14 mars 2024 est organisée par Leonardo/Olats en partenariat avec Matrice, centre d’innovation technologique et sociale (https://www.matrice.io/), avec un soutien de Rice Global Paris Center (https://global.rice.edu/pariscenter).

LASER Paris « Une autre planète » s’inscrit dans le cadre du projet More-Than-Planet (https://www.more-than-planet.eu/), coopération internationale entre Stichting Waag Society (NL), partenaire leader, Zavod Projekt Atol (SI), Ars Electronica (AT), Digital Art International ART2M (FR), Northern Photographic Centre (FI) et Leonardo/Olats (FR), et un soutien financier du programme Creative Europe de l’Union Européenne.

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Happy New Orbit

Publié le 1 janvier 2024 par ab

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Space Art & Culture : les articles de Leonardo/Olats

Publié le 10 novembre 2023 par ab

70 ! Il y en a 70. Plus même puisque certains ont une version française et une version anglaise.

Pour la première fois, sont proposés, regroupés tous ensemble, les articles issus des actions de Leonardo/Olats dans le champ art, culture, science et espace.

Depuis 1997, date de sa création, Leonardo/Olats a fait porter une part importante de son activité sur la création artistique en lien avec l’espace extra-terrestre (astronomie et astronautique) notamment par le biais de workshops, de colloques et de conférences.

Ceci a donné lieu à la production d’un ensemble conséquent de textes que nous reprenons ici, par ordre alphabétique d’auteurs. On pourra bientôt aussi les retrouver listés dans chacun de leurs événements respectifs et également convertis en pdf.

A lire ou à relire alors que s’ouvre une nouvelle approche pour la présence humaine dans l’espace extra-terrestre et qu’arrivent de nouvelles générations d’artistes, de théoriciens et de chercheurs.

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More-than-Planet @ Ars Electronica 2023

Publié le 28 août 2023 par ab

More-than-Planet @ Ars Electronica 2023

6.9.2023 – 10.9.2023

It’s a full programme!

1 conference

3 workshops

3 expert tours

12 artworks in the Theme Exhibition

1 event in Deep Space 8K

come and join us

and visit the More-than-Planet Lab

in the POSTCITY Bunker

> More-than-Planet

http://www.more-than-planet.eu

The More-than-Planet project seeks to redefine our understanding and representation of the environment on the level of the planet as a conceptual whole. With 75% of the planet’s land surface experiencing measurable human pressure, the way people envision the planet significantly impacts the environment itself. Such environmental imaginaries are shaped by underlying concepts, value systems, visual cultures and technologies, which are not neutral or inclusive of society. Through collaboration with artists, critical thinkers, and experts from cultural, environmental, and outer space institutions, the project aims to address the crisis surrounding our planetary imaginary and foster a more inclusive and accurate portrayal of the planet.

> Theme Exhibition : (Co)Owning More-than-Truth

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/theme-exhibition/

Developed within the framework of the More-than-Planet-project, this year’s theme exhibition, (Co)Owning More-than-Truth, calls for a complete shift in our worldviews, relationships, language, consciousness, and narratives across the planet. (Co)Owning More-than-Truth views truth as a pharmacon to navigate current topologies of the knowledge structure, to map them out as dynamic and multifaceted entities and to accommodate the truths that are drifting and shifting. On display are artworks gliding from truths unearthed from the landscapes, ecosystems and cycle of life in and out of Earth to ground truths of collecting data and processing information to challenge existing regimes of knowledge. Deviating from the quandary of what the truth is and to whom we delegate the right to the truth, (Co)Owning More-than-Truth offers a space where interdisciplinary practices, approaches, and narratives are pluralized to unearth a more profound and inclusive understanding of being together, forging a path towards a consensus of collective efforts for the crises we face as a whole.

Artists: Agnes Meyer-Brandis (DE); Gregor Krpič (SI), Simon Gmajner (SI), Dr. Jan Babič (SI), Dr. Marko Jamšek (SI), Gal Sajko (Jožef Stefan Institute) (SI); Cecilia Vilca (PE); David Shongo (CD); Felipe Castelblanco (CO), Lydia Zimmermann (CH); Karen Palmer (GB); PЯОТO-ALIEИ PЯOJECT (CO/JP); Anne Duk Hee Jordan (DE/KR), Pauline Doutreluingne (BE); Barnaby Francis (GB), Robert ‘3D’ Del Naja (GB), Dale Vince (GB); Spektr Z (SI); Sebastian Schmieg (DE); Noor Stenfert Kroese (NL), Amir Bastan (IR)

> MORE-THAN-PLANET LAB

Location: POSTCITY Bunker

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/more-than-planet-lab/

Located at the heart of the theme exhibition in the POSTCITY bunker, the More-than-Planet Lab is not only hosting the workshops but also proposing a whole range of documentation from the partners activities in the project and more. We offer an experimental space teeming with living traces, narratives and imageries to carve a new lens into how we perceive the planet. Through exploring ongoing projects and participating in workshops, we aspire to deepen our understanding of the planet and raise collective awareness of urgent planetary issues.

> CONFERENCE: (Un)Earthing the Truth: Ownership and Narratives about the Planet.

Friday Sept 8th, 11:00 – 18:00

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/unearthing-the-truth/

On Friday it’s More-than-Planet day, on which the central question is ‘Who owns the planet?’ in (Un)Earthing the Truth: Ownership and Narratives about the Planet we delve into the notion of ownership in relation to the planet, questioning their complicated relationship. The day will also be dedicated to discussion and talks on topics addressing environmental concerns, planetary imaginaries, and related environing technologies. In debates and keynotes traversing the deep seas and the stratospheric skies, we reshape our understanding of ownership, recontextualizing the dominant economic systems and power hierarchies that have allowed us to establish proprietary relationships with our planet. Guests from a wide array of disciplines, encompassing artists, scientists, scholars, and economists, will discuss to challenge the narratives that mold our comprehension of ecological concerns.

> WORKSHOPS

Registration Required (follow the links)

Meeting Point: POSTCITY, We Guide You Meeting Point (First Floor)

Location: POSTCITY, More-than-Planet Lab

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/workshops/

* Planetary Public Stack

Wednesday Sept 6th, 14:00 – 16:00

led by Miha Turšič, Waag Futurelab (SI/NL)

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/planetary-public-stack/?occurrence=2023-09-06

This project builds on an earlier project, the Public Stack, which is based on the idea that all these technological layers should be developed from public values and takes a critical look at our use of technology. It builds from conceptual foundations of the comparative planetary imaginaries (matterings, concepts, cosmologies) toward required capacities (technologies, tools, data, skills) and the development of concrete new cases of public imaginaries. The participants will work on the technologies and skills to develop collaborative and art-driven innovation approaches with critical and creative tools for addressing today’s environmental troubles.

* Systemic Change in the Times of Polycrisis

Thursday Sept 7th, 14:00 – 15:30

led by Antti Tenetz (FI), Tero Toivanen (FI)

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/systemic-change-polycrisis/?occurrence=2023-09-07

The workshop « Systemic Change in Times of Polycrisis » explores how we can broaden our horizons and find sustainable solutions to the polycrisis caused by ecological emergency. It focuses on radical change in industrial societies. The perspectives of polycrisis will be linked to local examples that will be explored through the work of artists, researchers and activists. The discussion shifts from the global to the national/regional and back to the planetary level and is linked to selected art projects in the exhibition and to More than Planet art and science activities in Pyhäsalmi, the deepest metal mine in Europe and the Oulanka Research Station located in the middle of the Northern Boreal Forest, the world’s largest terrestrial biome.

* Planetary mattering

Saturday Sept 9th, 14:00 – 15:30

led by Miha Turšič, Waag Futurelab (SI/NL)

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/planetary-mattering/?occurrence=2023-09-09

It matters which planet we portray, and which one we do not. In this workshop, participants will learn about ways of mattering. With this term, we refer to the images, interests and facts that shape our image of the planet, and, in turn, how the solidification of these imaginaries determines the way we talk about the Earth and the decisions we make. Mattering looks at both the matter itself and its significance. In short, we research the drivers behind how we see our environment.

> EXPERT TOURS

Registration Required (follow the links)

3 tours in the themed exhibition focusing each time on specific artworks

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/we-guide-you/#experttours

* Mattering by Miha Turšič (SI)

Wednesday Sept 6th, 10:30 – 12:00

Meeting Point: POSTCITY, We Guide You Meeting Point (First Floor)

Location: POSTCITY, More-than-Planet Lab

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/expert-tour-miha-tursic/

‘Matter’ can be understood as both a noun and a verb: it is about material and about caring. Mattering is the inseparable interplay between creating facts and values, and the cultural and societal structures that emerge from this dynamic relationship. The way in which we imagine our planet influences our direct environment and therefore matters greatly. What matters to us depends on a multiplicity of different things: locality, ethics, morals, values. Understanding the diversity of drivers behind environmental concepts will contribute to better accessibility of environmental knowledge. This tour will guide you through a varied selection of different artworks that will reflect on matters-of-fact, matters-of-concern, matters-of-care, and matters-of-hope.

* Terraforming Earth – Decolonizing Space by Annick Bureaud (FR)

Thursday Sept 7th, 12:00 – 13:30

Meeting Point: POSTCITY, We Guide You Meeting Point (First Floor)

Location: POSTCITY, More-than-Planet Lab

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/expert-tour-annick-bureaud/

Terraformation is used to describe the process by which we would like to transform other planets to make them habitable for us. Colonisation has become the synonym to appropriation and exploitation. We’ll consider those two notions to discuss how they could be useful in looking back at Earth and our endeavours in Space today through a selection of three artworks from the exhibition.

* Mikro Makro by Marko Peljhan and Uros Veber (SI)

Saturday Sept 9th, 11:00 – 12:30

Meeting Point: POSTCITY, We Guide You Meeting Point (First Floor)

Location: POSTCITY, More-than-Planet Lab

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/expert-tour-mikro-makro/

MIKRO-MAKRO, from observation to orientation, led by Marko Peljhan (SI) and Uroš Veber (SI) will be focused on the works that could be understood as systems observatories and will attempt to synthesize certain common topical vectors present in all of them.

> DEEP SPACE 8K

Ars Electronica More-than-Planet Commission: Connected – how the world is more than the sum of its parts

by Jörg Menche (DE), Sebastian Pirch (AT), Norbert Unfug (AT), Felix Müller (DE), Christiane V. R. Hütter (AT)

Wednesday, Sep. 6^th, 18:30 – 19:00

Location: Ars Electronica Center/DEEP SPACE 8K

https://ars.electronica.art/who-owns-the-truth/en/events/connected/

The project Connected–how the world is more than the sum of its parts unveils the multifaceted nature of the Earth’s systems, unraveling a system’s underlying structural principles, from natural phenomena to human creations.

Through a transformative journey, visitors are invited in a captivating exploration of the Earth’s diverse biomes, guided by the perspective of three avatars: a fox exploring solid land, a turtle diving through open water and a bird discovering the seemingly endless sky.

Through the avatar’s eyes, visitors experience macro to micro systems, from animal swarms, networks of flora, sprawling infrastructures, to the vast expanse of the world wide web and the human organism itself as a complex network of biomolecular interactions.

In a synergistic fusion of scientific inquiry and artistic expression, Connected invites the audience to embrace the beauty of Earth’s interconnected fabric, aiming to foster understanding of the intricacies that govern our world.

More-Than-Planet is an international cooperation project between Stichting Waag Society (NL), lead partner, Zavod Projekt Atol (SI), Ars Electronica (AT), Digital Art International ART2M/Makery (FR), Northern Photographic Centre (FI) and Leonardo/Olats (FR).

Co-funded by the European Union (programme Creative Europe)

Publié dans Anouncement, Art-Science, Art-Science, Exposition/Curation, Space Art, Vu / Seen | Marqué avec Annick Bureaud, Ars Electronica, art2M, Makery, Photo North, Projekt Atol, Waag FutureLab | Laisser un commentaire

A l’Ecoute : deux nouvelles séries de podcasts de Leonardo/Olats

Publié le 24 août 2023 par ab

Dans notre coin de la Terre, on va vers la fin de l’été, ailleurs c’est une autre saison qui se termine, partout la météorologie est sans dessus dessous dans un climat bouleversé.

Voici de quoi nourrir vos oreilles et votre réflexion mais de façon douce avec ces deux séries de podcasts réalisés dans le cadre du projet More-than-Planet

La première série est celle liée au colloque Global Periphery qui s’est tenu les 23 et 24 septembre dernier à Paris et que j’ai organisé avec Leonardo/Olats (oui, presque un an déjà !).

GlobalPeriphery-cards-6-FEATURE-1 Les contributeurs à ces podcasts sont : Frédérique Aït Touati, Eleanor Armstrong, Valentine Auphan, Fabiane Borges, Marie-Pier Boucher, Annick Bureaud, Ewen Chardronnet, Fatou Cissé, Rohini Devasher, Arthur Engehard, Bernard Foing, , Michelle Hanlon, Eduardo Kac, Rob La Frenais, Marcus Neustetter, Ale de la Puente, Priyanka Rajkakati, Antti Tenetz.

La deuxième série est celle liée au colloque Ocean Space Ocean des 16 et 17 mai 2023 à Paris, organisé par Ewen Chardronnet avec Carine Le Malet pour Makery

Les contributeurs à ces podcasts sont : Annick Bureaud, Sébastien Dutreuil, Federico Franciamore, Xavier Fourt, Gabriel Gee, Lily Hibberd, Hideo Iwasaki, Anne Marie Maes, Nicolas Maigret, Maya Minder, Anthea Oestreicher, Alice Pallot, John Palmesino, Marko Peljhan, Nicola Triscott, Miha Tursič

Et le design sonore est toujours fait par Jean-Yves Leloup.

* More-Than-Planet is an international cooperation project between Stichting Waag Society (NL), lead partner, Zavod Projekt Atol (SI), Ars Electronica (AT), Digital Art International ART2M/Makery (FR), Northern Photographic Centre (FI) and Leonardo/Olats (FR).

Co-funded by the European Union (programme Creative Europe)

Views and opinions expressed are however those of the author(s) only and do not necessarily reflect those of the European Union. Neither the European Union nor the granting authority can be held responsible for them.

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The Peripatetic Tour of the Nelson Mandela Garden in Paris above ISEA

Publié le 12 avril 2023 par ab

The Traveling Plant @ ISEA 2023 with Eva-Maria Lopez

Nelson Mandela Garden, Les Halles, Paris

May 17th 2023, 12:00 – 13:15 CET – free upon registration, limited number of participants

The Traveling Plant has been selected for ISEA Paris and is thrilled to discover the Nelson Mandela Garden, laying right above the ISEA venue, at the very centre of the City. Under the guidance of artist Eva-Maria Lopez and with the active participation of ISEA attendees and free audience, in the now traditional art and science methodologies of fieldtrips and walkspaces, The Traveling Plant is walked through five Stations to uncover a new understanding of this specific designed urban environment. Eva-Maria Lopez is reading the garden through some selected plants and areas, bringing to the forefront stories —historical, economical, political and botanical— that the plants are embodying. The Tour is part of her project The Gentlemen in my garden.

The Veridical Travel Around The World of A True Imaginary Plant traces the voyage of a plant —real, artificial or fictitious— around the world, telling its own story, the stories of other plants and living creatures (other than human and humans) it encounters, of whom and what it meets.

Initiated in 2020, The Traveling Plant (TP for short) started its voyage in the Kepler’s Garden of Ars Electronica before going to Barcelona and Evora in 2021.

Eva-Maria Lopez, is an artist working with the themes of nature, ecology and their historical contexts. In her projects, she explores the relationship between object and environment. Her sensitivity to the destruction of natural habitats and resources, as well as socially anchored structures in contemporary societies, is highly visible. In her work, Lopez places various realities in new contexts and thereby make them visible.

https://www.evamarialopez.com

Curators

The Traveling Plant Team: Annick Bureaud, Tatiana Kourochkina, Marta de Menezes, Claudia Schnugg, Robertina Šebjanič

The meeting point will be communicated closer to the event to the registered participants.

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Vidéo de la performance « Imaginary Futures »

Publié le 7 février 2023 par ab

Fatou Cissé, « Imaginary Futures » performance, sept 2022, image Quentin Chevrier

Un des grands bonheurs que j’ai eu en 2022 a été l’organisation du colloque Global Periphery qui a été ouvert et clôturé par la performance Imaginary Futures sous la direction de Marcus Neustetter.

En voici une captation vidéo dans un montage d’extraits magnifiquement réalisé par Antoine Perroteau

sur le site de Leonardo/Olats ; directement sur YouTube ; directement sur Vimeo.

Avec Marcus Neustetter Imaginary Futures réunissait Fatou Cissé de Dakar présente à Paris et les artistes sud-africains Aja Marneweck (Cape Town), Miné Kleynhans et Teddy Mhlambi (Bloemfontein), Ciara Struwig, Thulisile Binda et Xolisile Bongwana (Johannesburg).

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Global Periphery is part of More-Than-Planet project, an international cooperation project between Stichting Waag Society (NL), lead partner, Zavod Projekt Atol (SI), Ars Electronica (AT), Digital Art International ART2M (FR), Northern Photographic Centre (FI) and Leonardo/Olats (FR).

Global Periphery is organised by Leonardo/Olats; curators: Annick Bureaud and Marcus Neustetter.

Collaborations with Chaire arts & sciences, Ecole polytechnique and Ensad (FR)

and with Cité Internationale des Arts.

Endorsed by ITACCUS, the Committee for the Cultural Utilisation of Space of the IAF-International Astronautical Federation.

Co-funded by the European Union (Views and opinions expressed are those of the author(s) only and do not necessarily reflect those of the European Union. Neither the European Union nor the granting authority can be held responsible for them)

Leonardo/Olats received the support from the Daniel and Nina Carasso Foundation, the Canadian Cultural Center in Paris and the Institut Français India.

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« Space Shelter Earth », Romanian Research Trip, Autumn 2024

Impressions Ars Electronica 2024 (HOPE)

« Space Feminisms » à la Gaîté Lyrique, mardi 26 mars, 19h00

Rencontre LASER Paris : « Une autre planète » – 14 mars 2024

avec Luis Campos, Chloé Audas, Michèle Boulogne, Antti Tenetz

> Luis Campos, historien des sciences, Université Rice (Houston, Texas, Etats-Unis) // Ascensions and Astrobotany: Islands in the Sky

> Chloé Audas, cheffe du projet MELiSSA (ESA/ESTEC, Noordwijk, Pays-Bas) // Projet MELiSSA : le spatial au service de la durabilité

> Michèle Boulogne, artiste et designer (Rotterdam, Pays-Bas et Martinique, France) // Mining the Sky, poursuite de la finitude

> Antti Tenetz, artiste, chercheur et curator, chef du projet « More-than-Planet » pour le Northern Photographic Centre (Oulu, Finlande) // Into the Void – Art in extreme environments? Space, mine, research station in sub-arctic wilderness, analog astronaut missions.

Happy New Orbit

Space Art & Culture : les articles de Leonardo/Olats

More-than-Planet @ Ars Electronica 2023

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Vidéo de la performance « Imaginary Futures »

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